Le magazine L’Actualité a publié il y a peu son traditionnel palmarès des 100 personnalités les plus influentes du Québec. Et l’Université de Montréal peut doublement s’en féliciter ! 

D’abord parce que vingt-neuf de ces figures politiques, médiatiques, culturelles et académiques sont diplômées de l’UdeM — preuve de l’extraordinaire influence de notre université sur la destinée de notre province. Ensuite parce que cinq d’entre elles jouent un rôle clé dans notre grande campagne L’heure est brave à titre bénévole ! 

Aux 58e et 71e positions, on retrouve ainsi l’écrivaine Kim Thúy et l’auteur Michel Jean, deux de nos quatorze ambassadrices et ambassadeurs d’influence. Chargées de faire rayonner la grande campagne dans les sphères publique et médiatique, ces personnalités se distinguent par leur aura et leur connexion avec la société québécoise, d’où leur présence logique dans ce palmarès. « Kim Thúy est plus qu’une auteure, écrit ainsi L’Actualité à son propos, c’est une ambassadrice mondiale de la littérature québécoise, doublée d’une humaniste qui rappelle constamment la richesse apportée par l’immigration dans nos sociétés. » Quant à Michel Jean, le magazine dit de lui qu’il « aborde les enjeux autochtones avec acuité, racontant d’une manière remarquable l’histoire des Premières Nations, et particulièrement de sa communauté innue. »

À la 65e position, c’est l’Honorable Louise Arbour, membre de notre Comité d’honneur, qui se distingue en étant parmi les trois seuls juristes de ce palmarès. « Son parcours professionnel, note le mensuel, lui donne une crédibilité à toute épreuve dès qu’elle s’exprime sur un sujet – les grandes crises mondiales, les agressions sexuelles dans l’armée, les sans-papiers, la protection des minorités… » Comme les neuf autres membres du Comité d’honneur, elle compte parmi les grandes personnalités de l’Université qui ont décidé de s’engager dans le succès de la campagne.

Enfin, ce sont deux membres du Cabinet de campagne qu’on découvre aux 39e et 62e places. D’abord Geoff Molson (également Président du comité consultatif du CEPSUM), « grand patron d’un groupe (…) qui exerce son influence dans divers domaines à la fois : affaires, sport, culture, divertissement. » Et enfin, Jean-Marc Léger dont la « maison de sondage brosse le portrait de la psyché politique et sociale du Québec depuis 40 ans, de sorte que personne ne sait mieux que lui ce qui se passe dans la tête des Québécois. » En tant que membres du Cabinet, ces deux bénévoles incarnent les valeurs et portent les espoirs de la campagne L’heure est brave en mettant à contribution leurs réseaux.

Cette présence d’autant d’éminents diplômés de l’université – a fortiori lorsqu’ils sont impliqués dans notre grande campagne philanthropique – n’est évidemment pas fortuite. Elle est le signe d’une institution qui propulse le Québec, d’une force motrice profondément ancrée dans son tissu politique, économique, médiatique, social et culturel. L’UdeM est fière et choyée de pouvoir compter sur l’appui de tous ces diplômés : en mettant leur influence au service de leur l’engagement bénévole, elles et ils nous aident à écrire une part de l’avenir de la province, du Canada et du monde.